FIN 2014 : DÉCOUVRIR LES ÎLES DE LA GRÈCE... EN HIVER
EN TRANSPORTS LOCAUX, EN STOP, ET BEAUCOUP Á PIED
CARNET DE ROUTE, CARNET DE MARCHE....
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PALEOKASTRO - MATALA

17em jour (mercredi 12 novembre) :
Journée en grande partie passée dans les bus puisque j'ai décidé de choisir Matala (située au sud d' Heraklion) comme nouveau point de chute. Je reprends donc le bus de 7h30 pour Sitia.
Une demi heure d'attente en gare de Sitia avant de reprendre un bus pour Heraklion (3h de trajet pour 14,70 €). Arrivée à la gare A. Il me faut me rendre à l'autre gare (la B, située à 2 km) qui dessert le sud de l'île. Mais il y a un bus de ville, le 20 qui m'y conduit pour 1,10 €. J'arrive à cette gare. Pile poil car en semaine il n'y a que deux bus pour Matala à 7h45 et 12h45. Je n'ai donc à attendre que 45 mn, le temps de me confectionner des sandwiches avec les provisions récupérées dans le frigo avant mon départ.

2 h de trajet avec un changement de bus à Mires et me voici à Matala à 14h45. 
Un nouveau coup de coeur, le site étant très joli malgré un ciel bien gris.
Matala est un ancien spot hippie fréquenté en son temps par des artistes comme Bob Dylan, Cat Stevens et Joni Mitchell qui, dans son album Blue, évoque les quelques mois qu'elle a passé dans les grottes bordant la plage. L'ambiance a bien changé depuis mais le côté "Flower Power" est toujours bien présent comme en témoigne les dessins psychédéliques, le vieux combi wolfswagen laissé en exposition à l'entrée du village ou encore la petite coccinelle ornée de fleurs garée dans le centre.




Quelques autres décors psychédéliques

 
A mon arrivée je laisse mon sac à la terrasse d'un bar et m'en vais en quête d'un logement. Mais l'un des rares endroits louant encore des chambres est fermé et je m'en vais me balader. Au bout d'une heure j'ai déjà fait le tour du village et il n'y a toujours personne à la pension. Du coup je m'installe à la terrasse d'un restaurant (le Lion) donnant sur la plage et commence mon travail sur la tablette. Contrairement à Paleokastro je ne suis pas le seul étranger et j'en croise une dizaine d' autres à tout casser (dont quelques hippies). 





A 17h je retourne à la pension. Je n'arrive pas à négocier à moins de 30 € (35 au départ). Idem à côté. Tous les autres "rooms to rent" étant fermés, je n'ai pas d'autre choix que de m'installer au Zafiria Internet Café où j'ai laissé mon sac. Une chambre à l'étage à 20 €, impeccable avec vue sur la plage depuis ma terrasse mais sans frigo. Je dois aussi descendre au café pour avoir Internet.


Vue depuis la terrasse de la chambre

Malgré les dépenses de ces derniers jours qui font que mon budget journalier approche des 35 €, je sors pour aller diner au Giros, un plat de calamars à 7 €. 
Le village est désert et les quelques restaurants et cafés encore ouverts, vides.
Je termine la soirée au Zafiria pour profiter d'internet.
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