2em jour : Mardi 28 octobre :
Je suis déjà dehors à 6h. Problème, il fait nuit noir. Du coup je retourne m'allonger dans la chambre en attendant le lever du jour.
A 7h cette fois c'est bon et je me dirige vers les halles situées à deux pas. Aucune activité apparente et rues désertes. Le ciel est couvert ce qui ne m'empêche pas de faire un grand nombre de photos. Le "street art" rayonne dans le quartier et comme je suis fan, je n'arrête pas d'en prendre. Au bout d'une heure j'en ai déjà pris 80
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Mais il est 8h et les boutiques restent closes. Je me renseigne et apprend que c'est aujourd'hui férié, jour où l'on célèbre le refus de l'ultimatum italien de 1940. Des défilés religieux et militaires devraient avoir lieu un peu partout dans le pays.
Je m'accorde une pause le temps de me boire un café au lait (2 €), de rédiger ce texte et de préparer le programme de la journée.
Comme c'est férié aujourd'hui je me dis que les sites en principe gratuits le dimanche, le sont peut être aujourd'hui et qu'il serait bon d'en profiter. Je me dirige donc vers le pied de l'acropole en passant par la place Omonia
Place Omonia
J'arrive rapidement dans Plaka où je croise mes premiers touristes, le quartier regorgeant de boutiques et de restaurants.
Plaka
Après m'être dirigé vers le haut du quartier, je parviens à l'entrée du site. L'entrée est bien gratuite aujourd'hui et j'économise ainsi 11 €. Par contre, le ciel reste couvert, ce qui n'est pas idéal pour les photos. D'autre part, de nombreux touristes et locaux profitent aussi de la gratuité et il risque d'y avoir beaucoup de monde.
Toujours est il que je visite le site de l'Acropole entre 11h et 13h30, l'ancienne agora entre 14h et 16h30 et termine par la librairie d'Hadrien où je passe une quinzaine de minutes.
L'Acropole
Visite virtuelle du site de l'Acropole : ICI
Et pour en savoir plus sur l'avancée des travaux de l'Acropole, cliquez ICI
Vue sur l'agora depuis le Peripatos
Il est donc 17h quand je fini les visites de la journée, à l'heure où se couche le soleil (qui a brillé par son absence toute la journée).
Parvenu place Monastiraki, je n'ai plus qu'à remonter la rue Athinas pour rejoindre l'hôtel
Place Monastiraki
Je m'arrête dans une agence de voyage. On me confirme que les bateaux pour Heraklion partent tous du Piree le soir à 21h. Pause à la terrasse d'un bar (le Bet café) pour boire une Amstel (bière locale) à 2,50 €, le temps de rédiger le récit de la journée. Je ressors de l'hôtel pour aller dîner mais il fait froid dehors et je ne m'éloigne pas trop. Je me contente d'un souvlaki (mélange de viande finement coupée, de salade verte en lamelles, de frites, le tout accompagné d'une sauce style mayo, et servi dans une galette de pain roulée en cornet). Un plat complet et économique (2 €). A 21h je suis déjà de retour à l'hôtel. Un occupant du dortoir dors déjà et je ne tarde pas à l'imiter.
Autres photos prises au cours de cette journée
Tu n'as pas pris le décalage horaire ! LOL ! Ou plutôt le décalage culturel. Tu me rappelles mon compagnon de voyage de l'hiver dernier, dont le réveil quotidien était 5H30 et qui, à 8 hres, attendait, attendait... son hypothétique petit déjeuner dans un restaurant toujours pas ouvert. Qu'est ce que tu m'as fait rire en lisant ton billet moi qui te connais... Une résistance électrique, du nescafé, des gâteaux...et tu as le petit déj à l'heure que tu veux. Au fait, c'est qui tes compagnons de dortoir ? Ils causent ? Bises, Joce
RépondreSupprimerJe l'ai, la resistance. Je ne vais pas tarder à m'acheter du nescafe car celui qu'on sert dans les bars ne me convient pas. Les résidents (nombreux) de l'hôtel sont tous très jeunes. Donc pas de contact. Je dis deux mots de celui qui partage ma chambre dans le blog. Pour le texte en justify, ce n'est pas un oubli, c'est que n'y arrive toujours pas avec la tablette. Bises.
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